service public de l’eau et de l’assainissement du territoire
Pierre Etienne Graffard :
« Prise de conscience collective sur l’eau et sa gestion. C’est un bien commun qui correspond à la notion de service public. Il convien de préserver l’Intérêt général avec spécificité CCM et de ce fait il est difficile de comparer avec certaines villes.
La régie intéressée prend en compte spécificité et complexité gestion.
Il convient de ne pas en faire seulement une question de principe, il faut tenir compte des réalités, car nous ne disposons pas d’alternative à nos ressources en eau.
Il existe un vrai problème de la vunérabilité des ressources, par exemple l’ouverture de la mine de fluorine pour la ressource d’Antully.
La encore pas question d’en faire une opposition de principe. Mais nous ne pouvons pas prendre de risques avec l’exploitation minière sur notre ressource en eau. Etre opposé à l’ouverture de la mine en fluorine donne tout son sens à la mise en régie de notre service des eau et permettra de garantir qualité de l’eau pour les usagers »
Lionel Duparay :
Nous avons demandé à ce que le maximum de solutions nous soient offertes. Nous voulons mettre l’usager au coeur du service public. Nous n’avons pas eu satisfaction avec une simple présentation sur un power point, cela rend difficile d’accèder réellement aux données de l’audit.
Sur la forme la CCM a décidé de ne pas consulter les populations, cela nous interpelle.
La présentation de l’audit a été succint. A nos demandes de disposer de l’accès au documenten ligne vous nous avez opposé un refus
Vous comparez Affermage et régie sur un an seulement.
vous nous demandez de choisir sans être allé au fond de l’ensemble des solutions
Nous nous opposons à cette délibération, l’audit n’a pas présenté toutes solutions, et nous ne pouvons décider en toute connaissance de cause
Charles Landre :
» Il s’agit là du plus grand choix du mandat et pourtant les conditions d’un débat n’ont pas réunies
Quelle maîtrise, quel coût, quelle qualité de l’eau etc.
Sur la méthode, la consultation de l’audit a été très contraignante, difficile. Deux élus seulement ont pu le voir
Je reprendrai l’essentiel des critiques de M. Duparay; J’y ajouterai un manque réel d’évaluation de la régie intéressée.
Vous faites une évaluation sur un an de l’affermage et de la régie, mais le choix est la régie intéressée et là pas d’évaluation.
Pas de prospective à moyen terme des prix. Nous sommes passés à côté de ce débat »
réponse de Mr Marti à Graffard Nous seront très vigilants sur le problème de la vulnérabilité des ressources en eau. Nous ne prendrons aucun risque
Réponse Marti à Mr Duparay SPL pas un mode de gestion, c’est simplement créer une structure intermédiaire qui engendrera des coûts supplémentaires et n’apportera aucune plus value
Réponse à M. Landre, il y quelques mois vous aviez affirmé il y a quelque mois dans la presse vous affirmiez vos position pour la régie, vous n’aviez encore aucune information, mais vous aviez déjà une position. Vous deviez faire des propositions concrètes au mois de septembre dépéchez vous nous somme le 30, demain nous ne serons plus en septembre. Tous les élus ont eu les mêmes éléments, vous n’avez pas été privés d’informations, c’est votre position dogmatique.
Au départ l’eau est gratuite, ce qui coûte c’est le trajet entre la source et le robinet (traitement, équipements, gestion, livraison) et là les territoires ne sont pas égaux entre eux. A la CCM nous avons entendu travailler sur un meilleur mode de gestion qui donne l’égalité à nos territoires face au service public de l’eau.